Gabriele Frantzen, créatrice de bijoux de Munich.
Lacréatrice de bijoux Gabriele Frantzen a fondé son propre laboratoire en 2009. Depuis lors, elle crée des bijoux spéciaux pour les femmes individuelles. J’ai parlé à Gabriele de ses collections et de son travail de créatrice de bijoux à Munich.
Gabriele à propos de ses créations de bijoux
FIV : Gabriele, quand et comment vous êtes-vous lancé dans la création de bijoux ? Quand avez-vous lancé votre propre label ?
L’année 2009 a marqué le début de ma propre collection. Je ne trouvais rien qui m’excitait à l’époque. J’ai créé mon propre label et j’ai rapidement ouvert une petite salle d’exposition à New York également.
FIV : Que concevez-vous exactement et quels matériaux utilisez-vous ?
Colliers, boucles d’oreilles, bracelets, écharpes, breloques de sac, ceintures… en métal, Swarovski Elements, trouvailles vintage, perles de verre, fourrure, ruban, soie.
FIV : Faites-vous tout vous-même ou avez-vous une équipe avec des « coups de main » ?
Je fais toujours le premier jet moi-même, naturellement j’ai des « coups de main » !
FIV : Et qu’est-ce qui est particulièrement important dans vos créations ? A quoi faites-vous attention ?
Les créations sont intemporelles, individuelles, féminines et avant-gardistes à la fois.
FIV : Quel genre de femme ou d’homme porte vos bijoux ?
Ma femme d’aujourd’hui est individuelle, féminine et avant-gardiste.
Gabriele Frantzen : Son travail quotidien à Munich
FIV : Dans quelle mesure Munich vous inspire-t-elle en tant que ville de la mode ?
Je trouve mon inspiration dans mes voyages, dans les films, au théâtre, dans l’art et dans la rue, où que ce soit.
FIV : Comment avez-vous réussi à vous lancer dans une ville comme Munich ?
De bons amis comme Johnny et Adrian de Talbot & Runhof ont cru en mon label dès le début.
FIV : À quoi ressemble une journée de travail normale pour vous ? Que faites-vous exactement ?
Il n’y a rien de complètement normal. Il y a les journées de bureau avec des centaines d’emails et de choses à faire. Il y a des journées de conception que je passe avec tous mes « ingrédients » et où je travaille sur des dessins jusque tard dans la nuit. Et il y a les « journées glamour », comme les séances de photos, les événements de mode, les foires commerciales. C’est pour cela que j’aime mon travail : il n’y a rien de tout à fait normal.
Gabriele sur les tendances en matière de bijoux
FIV : Quel est le bijou dont personne ne devrait se passer en 2015 ?
Mon collier de lasso et mes bracelets de bonbons.
FIV : Quelles collections pouvons-nous attendre de vous à l’avenir ?
Le nouvel accent est mis sur la taille et le poignet – j’ai hâte de voir ce qui est prévu pour les ceintures et les bracelets.
FIV : Où peut-on admirer et acheter vos bijoux ?
Chez Engelhorn, Apropos, Konen ou KADEWE.
FIV : Merci beaucoup pour cette interview Gabriele !
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